Michel Hulin
 |
Tripurarâhasya
La
doctrine secrète de la Déesse Tripura
FayardDocuments
Spirituels
ISBN :
2-213-00812-4
1979
|
La
Doctrine secrète de la Déesse Tripurâ a
été composée en sanskrit, peut-être
au Bengale, par un certain Haritâyana, vraisemblablement
entre le X et le XV siècle de notre ère. Sa «
Section de la Connaissance » - seule traduite ici - expose
une philosophie originale qui cherche à opérer
la synthèse du Vedânta non-dualiste et de certains
courants tantriques. Dans le cadre général formé
par le dialogue d'un maître spirituel et de son disciple
viennent s'insérer quantité de paraboles, récits
à clef, légendes mystiques et autres contes philosophiques,
tour à tour émouvants ou truculents, mais tous
destinés â illustrer les quelques grands thèmes
autour desquels l’œuvre entière est construite
: la déesse Tripurâ identifiée à
la Sagesse éternelle en même temps qu'à
la lumière de conscience présente en tout homme,
le miroir spirituel, la toute puissance de l'imagination productrice,
la relativité de l'espace et du temps, l'expérience
paradoxale du « délivré-vivant ». |
|
L’inde
des sages
Editions
du felin
ISBN :
2-86645-370-0
2000
|
L'Inde
: trois millénaires de spiritualité. Pays à
la fois réel et légendaire des sages, des éveillés,
des yogis, des fous de Dieu. Pays qui, dans sa diversité
extrême, fascine de plus en plus l'Occident.Cette diversité
se reflète dans le choix des textes proposés ici
par Michel Hulin. Ils appartiennent aussi bien aux livres sacrés
de l'hindouisme tels que les Upanisads
ou la Bhagavad-Gitâ qu'à la littérature
bouddhique ou à des auteurs modernes : Ramakrishna, Gandhi,
Krisnamurti.Une certaine unité de ton traverse et ordonne
cette polyphonie. Elle trouve sans doute son origine dans l'inébranlable
sérénité des sages « réalisés
» perçue comme une vérification expérimentale
du message salvateur contenu dans la Vérité révélée.Loin
du pessimisme occidental, de son goût de l'Absurde, du
scepticisme, du nihilisme et du désespoir, l'Inde propose
à chacun de découvrir en lui-même non pas
le moi qui demeure toujours l'illusion que nous avons de nous-même,
mais le Soi qui participe à l'Absolu. |
|